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Une fenêtre sur cour...

Avant le match Algérie - Egypte, les coyotes et les chacals d’Afrique hurlèrent longtemps, dans les hauts bois en… cartons!

La 1ère partie de la Coupe arabe s'est achevée sans grande surprise. Les choses sérieuses commencent par des joutes intéressantes, loin des bobards, du genre des analyses, pédants et hors sujet. Avant le match Algérie - Egypte, les coyotes et les chacals d'Afrique hurlèrent longtemps, dans les hauts bois en... cartons! Cet Adib qui aboie depuis 2009, qui n'a cessé de cracher son venin sur tout ce qui est algérien, n'a pas pu avaler l'amère pilule d'Oumdurman, au Soudan où les SOS lancés par le clan «Moubarak», en direction d'un peuple qui ne voulait que le départ du pouvoir, du Raïs et de son puissant soutien, malheureusement, pas populaire. En 2021, on remet ça pour un match sans importance. Notre team était préparé par le «Magic» et tout débuta pour le mieux qui soit. Le coach algérien ne voulait prendre aucun risque. Il ne voulait que des buts et le gain de la partie! Les Verts passèrent une 1ère mi-temps laborieuse. En 45 minutes, on vit de très belles choses. C'était le genre de match, que les Algériens voulaient voir: une partie largement à la portée des nôtres! Bougherra ne croyait pas au spectacle offert par les «Fennecs»! L'Algérie carburait bien, malgré l'absence sur le firmament du foot national, qui se cherchait encore, surtout qu'il commença à discuter les décisions du referee! On n'y peut rien. Il faudra faire avec, en attendant la mi-temps! Il sera servi royalement, le «Magic» par le demi-centre Touggai, qui reprendra une balle liftée de Youcef Belaïli sur un coup franc joué par Brahimi. C'est la 19e minute et la folie dans les tribunes du stade. Le match est alors lancé, on passe à la vitesse supérieure, et c'est paradoxalement l'Algérie qui monopolise le cuir, avec un éblouissant Yacine Brahimi, qui se permet des trucs extraordinaires qui déstabilisent les Egyptiens, alors que Bounedjah sombre corps et biens et reste mystérieusement absent. A un moment donné, ce dernier donne carrément des balles à l'adversaire. Les «Pharaons» ne font que regarder les Verts jouer convenablement bien. Ils font alors des fautes vite et bien sanctionnées par des cartons. Le Onze manie bien toutes les balles, au moment où Queiroz, le coach du pays du Nil, donne des conseils aux attaquants d'entrer balle au pied, en finesse, dans la surface de réparation de Raïs M'Bolhi, qui aura passé un début de soirée, somme toute, tranquille. A la reprise, (49e minute), le stade vibre sur un magnifique coup franc qui alla mourir dans le petit filet. Une chose est certaine: il y avait sur le terrain des gus qui ont dû certainement «faire pipi» dans leurs pantalons! La VAR vient au secours des Rouge et Noir, le penalty est réussi par le capitaine El-Soulia à la 59e minute! S'achemine-t-on vers un nul, sur toute la ligne? La tension tombe et les «Pharaons» se reprennent mais leurs maladresses font que le score en restera là jusqu'à la 79e minute, Draoui fait faute sur faute, il écope d'un carton, évidemment, gratuit. Les crampes pleuvent coté égyptien. L'intérêt du match tombe et on dirait que les Algériens veulent ce résultat. Le jeu est hachuré. La monotonie plane. Le public est refroidi. 

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