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22 février une année après

Constantine au rendez-vous

La ville des Ponts a officiellement fêté, hier, le 22 février, date du déclenchement du Hirak pour le changement, mais aussi une date par laquelle les Algériens ont refusé le 5e mandat de l’ex-président de la République. Une date où le peuple et son armée qui a adhéré à ses revendications n’en faisait qu’un seul socle. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décrété cette journée, une année après « Journée nationale de la fraternité et de la cohésion entre le peuple et son armée ». En cette circonstance ô combien sacrée, les autorités locales et à leur tête, le chef de l’exécutif, Ahmed Sassi Abdelhafidh, ont inauguré, hier, une exposition de photographies au complexe culturel Malek-Haddad, reflétant les plus belles images de cette fraternité et cohésion entre le peuple et son armée. On pouvait distinguer aussi celles des policiers et des manifestants avec cette complicité sublime.
Celles des militaires lors de l’arrivée de l’Equipe nationale avec la coupe d’Afrique et surtout des photos du défunt Ahmed Gaïd Salah. Celui qui a aussitôt répondu au cri du peuple en s’alignant de son côté. Il aura, alors qu’il était chef d’état-major, vice-ministre de la Défense nationale et général de corps d’armée, accompagné le peuple jusqu’à la tenue de l’élection présidentielle tout en préservant la sécurité du pays et de son peuple, et en gardant l’Algérie hors des menaces, pour enfin, l’acheminer à bon port. Le défunt ayant accompli sa mission en honorant toutes ses promesses s’éteindra quelques jours après l’installation de Abdelmadjid Tebboune dans ses fonctions de président de la République. Un hommage historique lui a été rendu par le peuple qui l’a accompagné à son tour par milliers jusqu’à sa dernière demeure. Le 22 février est désormais une date où les Algériens fêteront leur victoire sur la bande qui a souillé le pays durant 20 ans. Aujourd’hui, l’Algérie est entre des mains sûres. Celles de ceux qui ont compris et pris conscience du potentiel de ce peuple, comme l’avait souhaité le défunt Ahmed Gaïd Salah.

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