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Développement du continent africain

L’Algérie réitère son soutien à la BAD

Mohamed Loukal s’est félicité des efforts louables de la BAD en direction du développement de l’Afrique.

Le ministre des Finances, Mohamed Loukal, a encensé mercredi dernier, l’apport de la Banque africaine de développement (BAD). C’est depuis Charm El Cheikh (Egypte), qu’il a renouvelé le soutien de l’Algérie à la BAD, en indiquant qu’elle représente «un acteur clé pour le développement du continent africain». Participant à la 19ème réunion du Comité consultatif des gouverneurs (CCG) de la BAD, Loukal «s’est félicité des efforts louables de la BAD en direction du développement de l’Afrique, notamment en matière de mobilisation des financements», a indiqué le ministère des Finances dans un communiqué. A ce sujet, le responsable du secteur des finances a souligné qu’il est « important que la Banque concentre ses efforts pour la consolidation d’une croissance durable des économies africaines, tout en accordant une attention particulière aux questions de l’emploi des jeunes, du genre et des changements climatiques, notamment dans les pays fragiles et en transition ». Tout en estimant que l’augmentation générale du capital de la BAD, examinée au cours de la rencontre de Charm El Cheikh, serait d’un apport crucial pour permettre à cette institution de jouer un rôle plus actif sur la scène africaine, Loukal a encouragé la Banque à entreprendre des actions visant à assurer une meilleure soutenabilité de son modèle financier et à redoubler d’efforts pour accélérer les réformes prioritaires au sein de cette institution, afin de renforcer ses politiques et ses capacités institutionnelles. Lors de la réunion, le ministre s’est entretenu avec le président de la BAD et certains de ses homologues membres du CCG, avec lesquels il a échangé sur les défis de développement auxquels est confronté le continent africain, ainsi que sur le rôle central que doit jouer la BAD pour accompagner ses pays membres, dont l’Algérie, dans le processus de développement et de diversification de leurs économies. La réunion du CCG avait pour principal objectif d’échanger sur la question de l’augmentation générale du capital de la BAD, ainsi que sur les réformes devant accompagner cette nouvelle augmentation en vue de permettre à cette institution de répondre au mieux aux besoins de ses pays membres en matière de développement. A cette occasion, les membres du CCG ont pris note des changements apportés par la BAD en réponse aux recommandations formulées par les gouverneurs, représentant les pays membres de cette institution, lors de la réunion tenue en juin 2019, et ce, pour convenir des termes de cette nouvelle augmentation de ressources, pour laquelle un accord de principe unanime a déjà été signifié. Rappelons encore que la Banque africaine de développement (BAD) avait annoncé qu’elle allait prêter à l’Afrique centrale quelque 2 400 milliards de francs CFA (environ 4 milliards de dollars) d’ici 2025. Cette annonce a été faite à l’ouverture, à Yaoundé, de l’atelier de restitution du Document de stratégie d’intégration régionale de l’Afrique centrale pour la période 2019-2025 (Dsir) de la BAD.

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