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23 décès seraient liés au vaccin Pfizer-BioTech en Norvège

Pourquoi il ne faut pas paniquer!

Les victimes sont des personnes âgées et fragiles. Les décès, il y en a et il y en aura, mais cela n’est rien comparé aux millions de vies qui seront sauvées…

Le monde pris de panique! Vendredi dernier, une information venant de Norvège a affolé la planète toute entière. Il s'agit des premiers décès, confirmés, liés à la vaccination au coronavirus. En effet, l'Agence norvégienne du médicament a jeté un véritable pavé dans la mare. Elle fait état de 13 décès liés aux effets secondaires du vaccin Pfizer contre le coronavirus. «Au total, 23 décès ont été recensés dans le cadre de la vaccination contre la Covid-19 en Norvège et jusqu'à présent, 13 d'entre eux ont fait l'objet d'analyses», rapporte le média français C-News. «Les rapports pourraient indiquer que les effets secondaires courants des vaccins à AR Nm, tels que la fièvre et les nausées, peuvent avoir entraîné la mort de certains patients fragiles», a noté le médecin en chef Sigurd Hortemo de l'Agence norvégienne du médicament, alors que les «anti-vaccins» jubilent! Car, cette fois-ci, ce n'est pas une de leur fake news avec laquelle ils inondent les réseaux sociaux, mais une information véridique émanant d'une autorité sanitaire. Cela est-il pour autant un argument valable pour leur «guerre» contre le vaccin? Ces décès doivent-ils remettre en cause toute la stratégie de vaccination? À l'heure actuelle, il n'y a absolument pas de quoi s'inquiéter. Pour la simple raison que les personnes décédées sont âgées et fragiles. «Les rapports pourraient indiquer que les effets secondaires courants des vaccins à AR Nm, tels que la fièvre et les nausées, peuvent avoir entraîné la mort de certains patients fragiles», a noté le médecin chef Sigurd Hortemo de l'Agence norvégienne du médicament.«Pour les personnes les plus fragiles (très âgées ou souffrant de maladies, Ndlr), même des effets relativement légers peuvent avoir des conséquences graves», ajoute l'Institut norvégien de santé publique, cité par Bloomberg. De plus, comme avec chaque vaccin, il faut s'attendre à ce qu'il y ait des morts. Même la pénicilline peut tuer! Des victimes, il y en a et il y en aura donc! Mais dans toutes les guerres, cela permet au final de sauver des millions de vies! L'exemple le plus concret est celui que l'on a vu en Algérie, il y a quelques années, avec le vaccin de la rougeole. Le décès de deux enfants qui serait lié à ce vaccin a provoqué une campagne de «boycott» sur les réseaux sociaux. Beaucoup de parents ont cru à la rumeur, malgré les assurances, des spécialistes. Résultat: une épidémie de cette maladie, qui avait quasiment disparu, emportant avec elle plusieurs dizaines d'enfants. Cela aurait pu être pire si les «boycotteurs» avaient réussi leur coup. Il s'agit là d'un vaccin qui, selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a sauvé près de 25 millions de vies depuis 2000. Malgré son efficacité prouvée depuis des décennies, il y a toujours des voix qui demandent sa suppression. C'est dire que de nouveaux vaccins comme ceux contre le coronavirus ne vont pas échapper à ces campagnes de dénigrement, voire de désinformation. Il faudra s'attendre dans les prochains jours à voir nos réseaux sociaux et médias envahis par des millions d'informations sur les dangers et l'inefficacité de tel ou tel vaccin. Les Américains vont sûrement s'attaquer aux vaccins russes et chinois, et vice versa! Comme avant la chute du mur de Berlin, une Guerre froide s'annonce entre les deux pôles mondiaux. Cette fois-ci, ce ne sera pas la course à la conquête de l'espace mais au... vaccin. Un affrontement qui risque de faire de «gros dégâts» en donnant plus d'arguments aux «anti- vaccin». À la fin, il risque de n'y avoir qu'un seul vainqueur: le coronavirus. Il aura gagné plus de terrain, pendant que les travaux d'une année de recherches seront remis en cause par des thèses pas valables. La panique provoquée par cette guerre sera un véritable frein aux campagnes, déjà bien compliquées, de vaccination contre la Covid-19. Pour s'y retrouver, dans tout ce «bouillonnement», il faudra impérativement faire confiance à l'autorité sanitaire. C'est la seule qui a les données nécessaires et les compétences pour juger de la nocivité ou non du vaccin. Il serait fou d'imaginer que les gouvernements du monde entier mettraient en péril la vie de leurs concitoyens pour les beaux yeux des «big pharma». Cela est d'autant plus vrai en Algérie, où le bien-être et la santé des citoyens ont été mis au-dessus de toute autre considération durant cette crise sanitaire. La fermeture de l'espace aérien et ses conséquences sur l'économie nationale sont là pour le prouver...

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