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Le Burkina Faso est la cible d’une propagande mensongère

La souveraineté se paie au prix fort

Cette décision prouve que le gouvernement burkinabé fait face à des attaques multiples par les puissances occidentales et leurs sbires dans le but de l’affaiblir et le faire chanter.

Le Burkina Faso fait l'objet d' attaques par les médias en connivences avec des puissances occidentales aux visées hégémoniques et de mainmise dans la région du Sahel en général et le Burkina Faso en particulier. Le cas Human Rights Watch (HRW) qui accuse l'armée burkinabé d'avoir «exécuté au moins 223 civils» est un cas saillant. Le rapport de cette ONG très proche des officines étrangères à la solde des puissances occidentales dans la région, souligne que «L'armée burkinabè a sommairement exécuté au moins 223 civils, dont au moins 56 enfants, dans deux villages le 25 février 2024. Les soldats ont tué 44 personnes, dont 20 enfants, dans le village de Nondin et 179 personnes, dont 36 enfants, dans le village voisin de Soro», situés dans le district de Thiou (nord)», a signalé le rapport de ladite ONG à la solde des puissances internationales.
Ladite Ong n'a pas apprécié la nouvelle stratégie sécuritaire assumée et défendue par le nouveau gouvernement burkinabé présidé par le capitaine Ibrahim Traoré qui a décidé de faire le grand nettoyage en s'attaquant aux groupes terroristes armés dans le financement émane desdites puissances étrangères afin de déstabiliser la région du Sahel et imposer sa mainmise sur les richesses des pays de cette région très importante en termes de géopolitique.
La légèreté de ce rapport peaufiné par cette ONG au service des puissances internationales se fait remarquer à travers son rapport qui cite que «l'enquête précise avoir interrogé 23 personnes par téléphone, dont 14 témoins des tueries, et vérifié des vidéos et de photographies partagées par des survivants. Ces massacres de masse, parmi les pires abus de l'armée au Burkina Faso depuis 2015, semblent faire partie d'une campagne militaire généralisée contre des civils accusés de collaborer avec des groupes armés islamistes, et pourraient constituer des crimes contre l'humanité», insiste-t-on.
Le rapport de l'Ong Human Rights Watch verse dans des contradictions flagrantes qui démontre la campagne insidieuse colportée sciemment afin de nuire à l'image du Burkina Faso qui a décidé de mener une lutte implacable contre le terrorisme et ses mentors dans la région. Une des contradictions flagrantes de ce rapport c'est cette phrase qui souligne que «Le régime du capitaine Ibrahim Traoré, arrivé au pouvoir par un coup d'État en 2022, a adopté une stratégie très offensive contre les groupes terroristes qui contrôlent de vastes pans du territoire burkinabè». Il s'agit d'une offensive implacable à l'égard des terroristes qui ciblent le territoire burkinabé. En quoi cette démarche souveraine de lutte contre le terrorisme gêne l'Ong en mal d'arguments objectifs loin de la manipulation et de la propagande occidentale qui manie à sa guise les mots et les concepts qui ont trait aux valeurs des droits de l'homme et la démocratie. Les puissances occidentales ne sont pas contentess de la situation politique qui règne au Burkina Faso et les autres pays de la région du Sahel. Lesdites puissances ont été chassées par Burkina Faso qui a décidé de restituer sa souveraineté et de coopérer avec ce qu'il veut sans qu' ‘on lui impose une feuille de route à suivre.
Le fallacieux rapport rédigé par l'Ong inféodée aux puissances occidentales aux visées néocolonialistes persiste dans ses mensonges en soulignant que «L'échec répété des autorités burkinabè à prévenir et à enquêter sur de telles atrocités souligne pourquoi l'assistance internationale est cruciale pour soutenir une enquête crédible sur d'éventuels crimes contre l'humanité». Cette phrase montre on ne peut mieux que cette ONG a été missionnée pour assurer le rôle de sherpa pour e compte des puissances occidentales dans la perspectives d'internationaliser la situation au Burkina Faso afin de leur faciliter la tâche d'intervenir dans les affaires du pays souverain.
La souveraineté du Burkina Faso s'est manifestée à travers la suspension des radios britannique et américaine BBC et Voice of America (VOA) pour deux semaines pour avoir «diffusé un rapport de Human Rights Watch (HRW) accusant l'armée «d'exactions» sur des civils», a signalé soir l'autorité de la communication burkinabé.
Cette décision prouve que le gouvernement burkinabé fait face à des attaques multiples par les puissances occidentales et leurs sbires dans le but de l'affaiblir et le faire chanter. Mais Le Conseil supérieur de la communication (CSC) «a décidé de la suspension des programmes des deux radios internationales (BBC et VOA) émettant à Ouagadougou pour une durée de deux semaines à compter de la notification de ladite décision». 

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