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Constantine, Capitale de la culture arabe, quatre ans après

Encore une malversation?

Il aurait suffi juste d’appliquer la réglementation.

L’événement Constantine, capitale de la culture arabe, continue de livrer tous ses secrets, quatre ans après. Un évènement qui fait couler beaucoup d’encre suite aux scandales enregistrés, notamment dans les retards des travaux, les malversations et les dépense inutiles.
Aujourd’hui encore, de nombreuses victimes continuent à réclamer leur dû, mais en vain. C’est le cas de cette affaire, dont nous détenons une copie du dossier complet qui vient d’être remis à la justice. Il s’agit de la réhabilitation des immeubles de la rue, J.F Kennedy, (sept immeubles), la rue Rabah- Bitat, (cinq immeubles), cité Tahar- Djouad (12 blocs), trois écoles, à savoir Soukauna, Hacene-Boughroud et le Conservatoire de musique en plus de l’hydraulique, rue Madani-Bencharif et l’immeuble subdivision avec quatre blocs. Pour ce projet, un groupement solidaire a été désigné pour sa réalisation : Eurl Ec Challal, BET Ynineb et BET Khaber.
Après toutes les procédures nécessaires, notamment administratives, le groupement solidaire entame dès 2014 diverses tâches, entre autres, diagnostic, expertise, constat d’état des lieux, confection de cahier des charges pour chacun des bâtiments. Tout allait bien jusqu’au jour où l’on découvre que les parties de l’étude des deux groupements de BET Ynineb et BET Khaber ont été supprimées, car selon les explications qu’on a avancées, hors délai.
dans ce genre de situation, il aurait suffi juste d’appliquer la réglementation des pénalités et non de supprimer une étude qui aura duré des mois sans compter les dépenses. Les deux bureaux d’études qui viennent de saisir la justice ont frappé à toutes les portes, mais en vain, on veut juste ne pas payer leur travail et le seul gagnant c’est la Eurl Challal qui n’a pourtant pas fait tout le travail dans le dossier d’études, sauf en ce qui concerne la peinture.
Aucune réhabilitation n’est à l’ordre du jour, comme le prouvent les documents, les études n’ont pas été prises en compte. Celles-ci expliquent qu’en matière de réhabilitation, cette dernière est tributaire de l’avancement des travaux en cas de contrainte ou carence de l’entreprise, cela perturbera automatiquement le déroulement de la phase études et malgré les carences constatées de l’entreprise Challal, rien ne sera fait pour que le chef de service Réhabilitation, au niveau de la direction du logement de la wilaya de Constantine, décide de désengager en totalité sur l’avenant de clôture du groupement BET et ETB. Plusieurs immeubles, comme nous avons pu le constater, voire toutes les bâtisses citées plus haut, n’ont connu aucune réhabilitation si ce n’est un coup de pinceau de cet entrepreneur qui a été le seul à être payé, sans avoir pris en considération l’étude et sans avoir dépensé un sou pour la moindre restauration. La justice devra statuer sur un autre dossier relatif à cet évènement, alors que plusieurs autres affaires sont déjà enregistrées et d’autres sont sur le point de connaître le même sort car beaucoup d’entrepreneurs ayant été sollicités, n’ont rien perçu à ce jour.

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