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Le pétrole enchaîne une troisième hausse consécutive hebdomadaire

Feux verts pour l’or noir

Le prix du baril de Brent, référence du pétrole algérien, a clos la semaine à 63, 34 dollars.

En avant toute ! Les prix de l’or noir casseront-ils la barre symbolique des 70 dollars d’ici la fin de l’année. La probabilité est à envisager sérieusement. Cela serait une excellente nouvelle pour l’économie nationale qui a souffert de la dégringolade des prix du pétrole et qui ne peut se satisfaire de leur niveau actuel. Les conditions semblent cette fois-ci favorables pour qu’ils réalisent ce bond « miraculeux » pour desserrer un tant soit peu l’étau pour améliorer l’état de la trésorerie du pays. Un scénario qui pourrait s’écrire. Les feux ont viré au vert pour l’or noir. Le pétrole « Brent » s’engouffre dans le sillage des indices boursiers et déborde les 63 dollars : le voici en route pour 65 dollars peut-on lire sur le site d’ABC Bourse. Le chemin est tracé. Le pétrole reste sur une série de trois hausses consécutives hebdomadaires qui l’ont conduit à se hisser à son plus haut niveau depuis près de deux mois. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier, référence du pétrole algérien, a terminé la semaine qui s’est achevée le 15 novembre à 63,34 dollars à Londres. Ce qui représente un gain de 1,06 dollar par rapport à la clôture de la veille malgré le rapport de l’Agence américaine d’information sur l’Énergie (EIA) publié jeudi, qui faisait état d’une hausse des réserves commerciales de brut US pour la semaine achevée le 8 novembre de 2,2 millions de barils pour s’établir à 449,0 millions, alors que les analystes interrogés par l’agence Bloomberg anticipaient une hausse plus faible de 1,5 million de barils. Des chiffres qui ont contribué à faire reculer les prix de l’or noir jeudi à la clôture. Des chiffres vraisemblablement tronqués. Cette hausse des stocks de brut s’est aussi en effet accompagnée d’une extraction de 1,4 million de barils des réserves stratégiques américaines de pétrole ainsi que d’un recul de 2,5 millions de barils des produits distillés hors essence (fioul de chauffage et gazole) indiquent après correction ces statistiques. Les experts confirment la trituration de ces données qui déterminent l’orientation des cours de l’or noir. « Si on prend l’ensemble des stocks de pétrole aux États-Unis, on observe une baisse de 7,3 millions de barils. Il y a eu aujourd’hui une réévaluation des conséquences du rapport », affirme Kyle Cooper de Ion Energy. « Il y a eu cette semaine un déluge de prévisions contradictoires (de plusieurs agences et organisations), notamment les révisions d’indicateurs fondamentaux comme la production américaine ou la croissance de la demande mondiale », a relevé de son côté Robbie Fraser de Schneider Electric. Le baril a toutefois bénéficié des déclarations de responsables américains qui ont laissé entendre qu’un accord commercial partiel avec la Chine était tout proche.

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