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Cour de Blida, un lundi

Lundi 12 février 2024, était une journée particulière pour les juges, greffiers, service d'ordre, et procureurs, car la réception du public tous azimuts, par, d'une part, Abdelmadjid Djebari, le procureur général, et Kamel Ghazali, le président, en personne, et par le guichet unique, d'autre part, ont fait que cette véritable ruche fonctionne à merveille, grâce à une parfaite organisation, mise en place par le duo de chefs de la cour. En effet, chacun dans son étage, Kamel Ghazali, le président de cour, venu d'Alger, vidé et exténué, en fin août 2O24, n'avait pas encore récupéré tous ses moyens d'expression, lorsqu'il reprit les rênes de la cour de ce véritable «étalon de trait», qui ignore tout de la fatigue, car il sait s'y prendre avec les justiciables, en appliquant avec une étonnante intégrité le principe, qui souligne fort bien «qu'il ne faut jamais remettre au lendemain, ce que l'on peut réaliser maintenant!» Avec des magistrats de l'envergure des Khelloufi Bouzid, Maàrich-Ali, le jeune procureur - général -adjoint Brahmi, les patrons de cette très sollicitée cour du centre du pays, malgré le déficit de personnel, bossent dans l'intérêt des patientes populations de la moitié de la Mitidja, sans se plaindre à quiconque. L'organisation commence au grand portail de la cour, où un policier est chargé d'empêcher l'embouteillage dans les environs immédiats de la grande et spacieuse bâtisse.
L'entrée est filtrée, et les intrus sont énergiquement, mais poliment, éconduits, et empêchés de troubler l'ordre des folles audiences. Tenez, par exemple, cette journée a vu le tribunal criminel se charger de pas mal de sensibles dossiers. Ce qui a sauvé nos magistrats, ce sont ces salvateurs et objectifs renvois. L'essentiel est que les citoyens, et les avocats se sentent bien à la cour de Blida.

De Quoi j'me Mêle

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