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Affaire Algérie – Cameroun

«Dossier clos» pour la FIFA

«La FIFA a répondu à la FAF sur ces deux dossiers et considère le dossier clos», a indiqué à l’AFP un porte-parole de la FIFA dans un courrier électronique.

Le recours déposé par l'Algérie contre l'arbitrage lors du barrage qualificatif pour le Mondial-2022 perdu contre le Cameroun a été rejeté par la FIFA qui considère «le dossier clos». En effet, contacté par l'AFP, la FIFA a confirmé que la FAF avait saisi sa commission de discipline et avait demandé l'analyse de sa commission d'arbitrage. «La FIFA a répondu à la FAF sur ces deux dossiers et considère le dossier clos», a indiqué à l'AFP un porte-parole de la FIFA dans un courrier électronique. Cela vient confirmer, et d'une manière officielle, que l'Algérie n'ira pas au Qatar et ne prendra pas part au Mondial de l'année en cours au Qatar. Sa réclamation déposée contre l'arbitre gambien Bakary Gassama après le match retour des bagarres face au Cameroun (1-2), n'a pas pesé. Il s'agissait, comme rapporté moult fois sur ces colonnes, d'une réclamation sur la prestation de l'arbitre en question, et dans laquelle aucune trace de corruptibilité de l'homme en noir ne s'y trouvait. La suite n'est, donc, que logique. «Nous regrettons que, selon votre appréciation, les décisions des arbitres aient pu influer négativement sur le cours de la rencontre. (...) L'ensemble des incidents survenus pendant le match ont été examinés avec soin par les deux arbitres vidéo, conformément aux lois du Jeu et au protocole d'assistance vidéo à l'arbitrage», avait répondu, entre autres, la commission d'arbitrage de la FIFA à l'instance fédérale algérienne, en opposant, ainsi, une fin de non-recevoir à cette demande. Malgré cette réponse, le fait que le communiqué de la FAF était laconique, en ne reprenant qu'une partie de ladite réponse, a laissé «l'espoir demeurer» chez une grande partie des Algériens, surtout qu'ils avaient, à ce moment-là, tous en tête les déclarations des «marchands de rêve». Ceci, avant qu'ils ne soient confrontés à la triste réalité. Le «journaliste» qui n'a jamais signé d'articles, ou encore cette «organisation» fantoche, qui n'a ni agrément, ni siège, ni adhérent, ont été mis à nu. Se jouant des nerfs et des sentiments des Algériens, ils ont eu, par la suite, l'audace de parler et tirer sur tout ce qui bouge, surtout sur les journalistes. Ceux-ci avaient même été accusés de «traîtres», lorsqu'ils dévoilaient toutes les zones d'ombre entourant cette affaire. Voilà, donc, que chacun est remis à sa place et la vérité a fini par être dévoilée au grand public. Tournons la page, non sans tirer les leçons!

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