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«1, 2, 3, viva l’Aljirè!»

Qu’est- ce donc ce charabia?

Depuis 1971, date du commentaire sportif, en particulier, le pays et le monde purement sportif, ont vécu des saynètes qui frisent, parfois, le comique.

Après que le pouvoir algérien du pays en 1971, eut décidé d'arabiser à une allure qui frise l'entendement, l'environnement, on passa au sport. Le commentaire en langue arabe, avait débuté par l'excellent et sympathique journaliste formé à l'école en langue française, donc francophone, et jamais «francophile». Benyoucef Ouadia, a pris son envol avec la promotion de jeunes journalistes bilingues, de véritables enfants-loups, qui l'aidèrent à arabiser les termes propres au football, en particulier et en sport, en général. Tout marcha bien jusqu'au moment où, on ne le saura jamais d'où était survenue l'appellation, à partir de la station régionale de «Chabab Sariie Qacentina» qui a remplacé «officieusement» le «Club Sportif de Constantine», qui date de 1898, et qui a eu ses martyrs, 1954-1962, tout comme le MC Alger, l'USM Oran! Puis hop, on sauta aux mille bêtises, telles les «Kaaraba, Jumbo, Milaha, Nedjm, Hilal, Baladiat, Riadha, Riadhi, Chabab, etc.» Alors qu'il était plus aisé de parler, et d'user «d'électricité» «d' avion», «d'étoile», et autres, «croissant, sportive, sportif, communal, jeunesse». Non, on a préféré l' «arabo-glais», qui ne permet qu'à la seule «oreille», de saisir le sens des mots livrés en vrac, lors des discussions sur le football. Le «club» doit rester le «club», et non le «chabab», qui ne veut absolument, rien dire, en français, ni en arabe! D'autant plus que le fan algérien, et mieux, reste contre le journaliste algérien qui ne doit pas se mêler des joueurs sur les plans technique, tactique et moral! Laissons donc les spécialistes faire leur travail, calmement, sereinement. C'est simple.
Ya le feu, quelque part!
La violence est un très gros phénomène, sujette à tous les vices. Or, la violence dans les stades... Attention, attention, l'heure est plus grave, que ne le croient plusieurs personnes qui ne savent pas que la violence dans, et autour des périmètres des enceintes sportives, est une perverse stratégie, emmenée par des destructeurs de l'infrastructure existante, qui veulent exprimer un total désaccord sur la ligne de la politique sportive suivie jusqu'à présent. La malheureuse coïncidence a voulu que cette violence qui a toujours existé, soit revenue avec le retour du Championnat national, il y a quelques semaines. Le renvoi de Djamel Belmadi, le bruit sorti des dédales de la FAF, qui évoque avec insistance l'éloignement de certains joueurs-cadres-stars adorés par une grande partie des fans sont venus, s'ajouter au ras-le-bol constaté depuis un bon bout de temps, avec cette triste histoire du fameux, et déstabilisateur «dégage X...» lancé «adroitement» par de tristes sires et des énergumènes décidés à aller plus loin, et donc à stopper l'avancée de l'EN. Donc, on s'en aperçoit, on vise bien, et surtout, plus haut. Tout de go, reparlons brièvement, de l'arrivée du nouvel entraîneur national, Vladimir Petkovic, dont on a annoncé «triomphalement» qu'il a relégué Bordeaux, (qui ne représente rien à côté du «Bayern, ou du Barça»), mais omis d'insister sur le bon travail effectué, en Suisse, et à Rome, où il a réussi à ramener la coupe à la Lazio, qui n'est pas rien! Attendons qu'il entame son boulot, le temps qu'il apporte sa griffe, et après lui avoir accordé son légitime droit aux «erreurs», et même aux «errements»pour le juger définitivement. Laissons-le bosser dans la sérénité, avant de tirer à vue sur son travail, qui ne peut être décompté qu'après un bon bout de temps. Et puis, qu'avons-nous comme précédents à part les deux superbes trophées africains, dont le second arraché de haute lutte, avec panache, certes, en Égypte? Nous ne sommes rien, comparé à «Misr, Oum Dounia-la mère de l'Univers», qui a obtenu, elle, 7 étoiles africaines, sans compter l'impressionnant palmarès de l'immense club du Caire, El Ahli, qui possède, à lui seul, 147 titres, en plus de cent ans d'existence! Voilà ce qui s'appelle un palmarès! Alors, les enfants, posons les pieds sur terre, cessons de rêver, et occupons-nous de notre jeunesse! Cela vaut mieux que vingt-huit échecs en coupe d'Afrique.
Permanente guerre aux élites nationales
De chez nous, ce pays qui n'a jamais occupé de pays, même les plus proches, a pourtant, à travers les siècles été, le grenier à blé, puis à pétrole, à gaz, pour les «autres». Les seules guerres menées depuis longtemps, l'étaient contre nos propres enfants. Le cas de la sinistre «harka» est un exemple frappant! Mais, avant de nous enfoncer dans le sujet du jour, permettez-nous de faire une intrusion dans le chapitre des joueurs binationaux, qui choisissent une nationalité, autre que celle «algérienne». Yassine Adli est le dernier athlète franco-algérien qui vient de déclarer «qu'il a choisi le pays qui lui convient, car il a choisi le «haut-niveau». Pas que ça! Non, non et non! Adli qui a donné son accord à Djamel Belmadi, l'ex-sélectionneur des «Verts», il y a un semestre, a changé d'avis, au moment où Belmadi a été «renvoyé» comme un malpropre, sans que l'on parle avec insistance, de l'arbitrage partisan des referees africains, durant les trois joutes éliminatoires, en Côte d'Ivoire, l'hiver dernier. C'est peut-être une coïncidence, mais une coïncidence heureuse. La cinglante réponse d'Abdelhak Benchikha a été plus qu'éloquente. «Plus jamais d'EN!» Il a répondu que son appartenance à l'EN, est plus que jamais «non, non et non». Son argument aura été que les Algériens n'aiment pas leurs enfants, dans les postes capitaux. «C'est dans ma tête; personne ne peut me contredire!» Sa réplique a été aussi, et surtout, un soutien fort pour Djamel Belmadi!
Par ailleurs, un joueur de grand talent a choisi la France, «pour jouer le haut niveau! «Est-ce à affirmer de suite, que l'Algérie ne jouait pas le «haut niveau»? Non, Yassine Adli a choisi la stabilité du staff sous lequel, il aurait pu mieux s'épanouir. Les réseaux sociaux aidant, Yassine Adli a compris ce qui se passait réellement au pays des «rêveurs», des «gratteurs», des «parasites»! Il s'est rétracté en dernière minute. Quant à Djamel Belmadi, il allonge la liste des «ouled l'bled» écrasés par les leurs! Belmadi ne sera pas le dernier! Cela ne date pas d'aujourd'hui! Depuis belle lurette, la liquidation morale des Algériens «Bien», et plus, est devenue un sport national. À qui le tour? Avec la sortie de Belmadi, il avait choisi l'autre pays. Avant, il a dû suivre à la TV comment avaient été traité Aïssa Mandi et ses coéquipiers, en Côte d'Ivoire! C'est son affaire. On ne va tout de même pas le juger, et le condamner à être pendu haut et court, sans l'avoir au préalable entendu, et l'envoyer en correctionnelle pour ça. Il est tout de même libre de ses actes sportifs. De Yassine Adli, n'en parlons plus, sauf, peut-être, à titre gracieux, pour lui conseiller de causer du changement de nationalité sportive, un bon bout, avec des joueurs français, tel Fékir, et mieux avec Samir Nasri, Houssem Aouar! Ou bien de discuter sans rancune, du fait légendaire, avec Mustapha Dahleb, qui a décidé de «descendre» vers l'ex-Belcourt, présentement Belouizdad, au moment où il répondait à l'appel du drapeau algérien.
Dali, Idla, Adli et les autres
Pourquoi Belcourt? Fils d'émigré, Mustapha Dahleb dit «Moumouss» ne connaissait de l'Algérie que le CR Belcourt. Il y passera d'inoubliables moments. Depuis, il ne parlera plus du foot national pour plusieurs motifs qui le regardent. Yassine Adli a fait un choix sportif. Il y a quelques mois de cela, tout le monde était convaincu de la démarche de Djamel Belmadi. Adli sera bien «fennec». Le déroulement de la récente coupe d'Afrique de nations en Côte d'Ivoire, les incidents qui ont eu lieu à l'hôtel des «Verts» à Bouaké (Côte d'Ivoire), dans l'espace aux déclarations de joueurs en fin de matchs, l'intrusion de mauvais perdants, l'inélégance de certains fans, vis-à-vis des joueurs binationaux, ont fait que, paradoxalement, les mines se sont peut-être réjouies depuis, mais les coups bas, les croche-pieds, peaux de bananes, insultes, quolibets et autres, surtout dans les (maudits-réseaux-sociaux) se sont férocement déchaînés ces derniers temps sous un chapiteau d'un silence assourdissant de tous les concernés, devant, surtout la destruction volontaire des mobiliers de nos beaux stades dont certains venaient d'être savamment et proprement rafraîchis. Que de dégâts! Que de dépenses inutiles, au lieu que ces «flousses» aillent en direction d'autres infrastructures de disciplines dites «mineures», méritant vraiment d'être redressées, rénovées et nettoyées! 

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