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Carnet de campagne / Benflis à Mostaganem et Sidi Bel Abbès lors de sa campagne électorale

«La crise n’est pas une fatalité»

Il a en outre défendu la situation du pays et son potentiel en rappelant que « la crise n’est pas une fatalité, l’Algérie pourrait sortir de cette spirale, elle en a les moyens, c’est un pays de richesses et de volonté ».

Le candidat à l’élection présidentielle, Ali Benflis, continue son périple électoral dans le cadre de sa campagne pour expliquer les grandes lignes de son programme. Le 16e jour s’est déroulé dans l’ouest du pays, à savoir les deux wilayas, Mostaganem et Sidi Bel abbès.
Benflis a abondé dans le sens de la construction d’un nouveau système politique et les voies et moyens pour y parvenir. Il a souligné en la matière que «l’avenir se construit à travers un projet politique sérieux et prometteur et non pas par des règlements de comptes», a-t-il martelé lors de ces deux meetings populaires dans la wilaya de Mostaganem et Sidi Bel Abbès.
L’engagement de Benflis dans cette élection présidentielle a été exprimé pour une raison qui dépasse sa personne comme cela a été expliqué. Il a indiqué que «mon implication dans cette élection présidentielle traduit mon amour envers la patrie et rien d’autre. L’Algérie pleure, elle est fatiguée, il faut que nous la sauvions tous et toutes. Il faut bannir la haine et le règlement de comptes. Seul un projet politique sérieux est en mesure de faire sortir le pays de la situation dramatique dans laquelle il se trouve», a-t-il expliqué.
De l’autre côté, le candidat Benflis à rappelé les grands axes de son programme électoral et les urgences qui s’imposent pour résoudre la crise politique qui affecte les institutions de l’Etat et de la société.
Pour Benflis, l’urgence est au «règlement le plus rapide possible de la crise de la légitimité politique de l’Etat. Il faut élire un président de la République qui aura les pouvoirs et les prérogatives nécessaires pour entamer les chantiers du changement politique», et d’ajouter «il faut sauvegarder l’Etat et le protéger. Et après il y aura d’autres priorités, à savoir la relance de notre économie qui est au ralenti et permettre à la société de retrouver le processus normal», a-t-il argué.
Il a en outre défendu la situation du pays et son potentiel en rappelant que « la crise n’est pas une fatalité, l’Algérie pourrait sortir de cette spirale, elle en a les moyens, c’est un pays de richesses et de volonté », a-t-il mentionné.
Le candidat à l’élection présidentielle, Ali Benflis, a abordé les chantiers qui nécessitent des réformes sans attendre. Il fait allusion à l’industrie du pays, à l’agriculture, à l’enseignement et à la profession journalistique et la justice.
Dans ce sens, Benflis s’est engagé à «réformer les secteurs névralgiques de l’Etat.
L’encouragement de l’esprit d’entreprise de l’Etat de droit et des libertés sera mon fer de lance pour mettre en place un système nouveau qui tiendra compte des nouvelles exigences des Algériens et des Algériennes», a-t-il insinué.
Le candidat Ali Benflis a terminé son speech en insistant sur le développement local qui est le fondement de la croissance et de l’économie. Il a promis de redynamiser le secteur de l’agriculture dans les wilayas de Mostaganem et Sidi Bel Abbès.

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