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Concours du village le plus propre à Béjaïa

Aguemoune Nath Amar a remporté le trophée

Des récompenses conséquentes ont été attribuées aux lauréats de cette première édition du concours du village et ou du quartier le plus propre, initié par l’APW de Béjaïa.

Le village Aguemoune Nath Amar, commune de Taourit Ighil, a décroché la première place de la 1ère édition du concours du village le plus propre, organisée par l'APW de Béjaïa. La solidarité citoyenne, basée sur l'intérêt, a fini par payer.
Les 108 autres villages et 14 quartiers répartis sur 32 communes, sont aussi dans le même cas, la village Aguemoune N'ath Amar s'est emparé de la première place du concours du village le plus propre de la wilaya. La proclamation des résultats a eu lieu jeudi dernier. Les efforts consentis depuis des mois par les habitants du village ont été récompensés par une 1ère place largement méritée. Un chèque de 5 millions de DA est attribué au village vainqueur et un autre de 500 000 DA par la Fondation Zinédine Zidane. Le village Zountar (Souk Oufella) arrive en seconde position et empoche 3 000 000 DA; viennent ensuite les villages Achelouf et Tala Hiba (Toudja) avec respectivement une enveloppe de 2 000 000 et 1 000 000 DA. Le village Taourirt (Akfadou)arrive en 5ème position avec 1 000 000 de DA. Quant aux quartiers les plus propres, celui de la Révolution agraire-Berchiche (El Kseur) obtient 2 000 000 DA, les Horloges (Tazmalt): 1 500 000 DA et le chef-lieu de la commune d'Ait Smail: 1 000 000 DA. Qalaâ N'Ath Abbas (Ighil Ali), Seddouk Oufella (Seddouk) et Ifri (Ouzellaguen) sont récompensés équitablement avec une aide de 800 000 DA pour leur instérêt historique. Le prix du village le plus touristique a été remporté par Djebla (Béni Ksila) avec 800 000 DA. À toutes ses récompenses, il faut ajouter les prix d'encouragement de 500 000 DA pour chaque village et quartier lauréat de la Fondation Zinédine Zidane qui a contribué par des chèques. À noter que cette 1ère édition a été dédiée au défunt Djamel Allam. La santé, l'hygiène et la protection de l'environnement ont été les principaux thèmes de la compétition. Les concurrents ont été notés sur la base de la gestion des espaces verts et des déchets, l'état général du quartier et l'entretien des voies, et des places publiques, des fontaines, des cimetières et des monuments. avec pour finalité l'instauration d'une culture écologique dans la wilaya, le respect de la nature, l'hygiène du cadre de vie, le développement environnemental. Dans son allocution, le président de l'APW a dédié cette édition à feu Djamel Allam, et, à travers lui, «à toutes celles et tous ceux qui se battent encore, à toutes celles et tous ceux qui refusent de céder au fatalisme et continuent de cultiver l'espoir, a tous les détenus d'opinion et politiques, qui militent pour un avenir démocratique et prospère de notre pays». À l'adresse des participants, il ajoutera: «De par votre travail et votre engagement, vous avez agi positivement sur la société et sur les responsables locaux, c'est pour nous tous une grande victoire, celle du début des transformations sociales que nous attendions de pied ferme. Vous avez fait le premier pas, vous êtes les pionniers de cette nouvelle politique, les forces du changement, la société civile de l'Algérie profonde, les fondateurs de l'Algérie de demain, une Algérie unie, libre, démocratique et heureuse.» Pour démocratiser la participation de la société civile et pour l'avenir démocratique de notre pays, «il est impératif et urgent de transférer les responsabilités et les moyens correspondants, de l'Etat central aux collectivités locales, selon le principe de subsidiarité, les doter de l'autonomie administrative et financière avec une réforme de la fiscalité nationale et locale», a estimé Mehenni Haddadou. Avant de rappeler que «la bonne gouvernance est tributaire de l'implication effective de la société, au niveau local et national pour une meilleure transparence dans la gestion des affaires publiques» et que «la démocratie participative exige des cadres et des outils institutionnels qui garantissent la participation du citoyen aux côtés des pouvoirs publics, dans l'élaboration et la mise en oeuvre des programmes de développement qui prennent en considération ses attentes et ses doléances» avant de terminer en annonçant «l'ouverture des inscriptions pour la 2e édition». 

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