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Ligue 1

Invasion des coachs tunisiens

Après Khaled Ben Yahia (MC Alger), Nabil Kouki (ES Sétif), Lotfi Sellimi (O Médéa) et Kaïs Yaâkoubi (JS Saoura), voilà Amar Souayah engagé par la JS Kabylie.

Le 26 octobre dernier, le président de la JS Kabylie, Yazid Yarichène, a annoncé:«Nous avons trouvé un accord à l'amiable avec Stambouli, qui n'est plus entraîneur de l'équipe première.» Engagé en août dernier en remplacement de son compatriote Denis Lavagne, Stambouli (60 ans), était signataire d'un contrat de 2 saisons qui n'a finalement duré que quelques semaines avec une qualification aux 16es de finale bis de la coupe de la CAF devant les Marocains du FAR Rabat. Et c'est finalement sur un technicien tunisien que les responsables du club kabyle ont misé cette fois-ci. Il s'agit de l'ex-sélectionneur de la Tunisie, Ammar Souayah, qui est attendu au plus tard, aujourd'hui, en Algérie. Ainsi Souayah sera le 5e entraîneur tunisien qui connaîtra le championnat algérien de Ligue 1. Et cette nomination a surpris plus d'un. Après Khaled Ben Yahia (MC Alger), Nabil Kouki (ES Sétif), Lotfi Sellimi (O Médéa) et Kaïs Yaâkoubi (JS Saoura), voilà Amar Souayah avec la JSK. Là, il est important de faire remarquer qu'après avoir essayé avec des coachs européens, voire sud-américains, des responsables algériens se sont tournés vers des coachs africains pour ne pas dire nord-africains. Et cela ne pourrait s'expliquer que par le fait que ces coachs, même s'ils ne connaissent pas le championnat algérien avant d'y avoir débuté, se familiarisent facilement avec. Lors du dernier match derby gagné par le MC Alger face au CR Belouizdad (2-1), le coach des Rouge et Blanc, le Brésilien, Marcos Paqueta, a confié qu'il vient de découvrir que le football algérien est très dur. Pour lui, et d'autres coachs européens, il faudrait une période d'adaptation et de familiarisation avec le football algérien pour avoir une vraie idée de celui-ci. Encore faut-il remarquer, que pour ces deux dernières années, les staffs techniques n'ont pas encore connu la vraie «pression» des supporters lors des matchs à enjeux ou des derbys, à cause de l'absence du public dans les stades en raison de la propagation du coronavirus. En tout cas, pour le moment, les coachs tunisiens sont bien appréciés en Algérie, aussi bien par les responsables et leur environnement que par les fans des clubs où ils exercent.

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