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Le jeu trouble et macabre des démocrates

Fini la politique de l'autruche

Il est clair, aujourd'hui, que le microcosme séparatiste est nourri et alimenté par une cohorte de semblants de démocrates version «culturaliste» et doctrinaires identitaires. Le double langage et la versatilité politique se font sentir chez ces autoproclamés représentants de la culture et de l'identité amazighes dans le cadre d'un jeu «démocratique» malsain aux visées régionalistes et sectaires.

Le Mouvement de l'autonomie de la Kabylie (Mak) est dépourvu d'ancrage réel au niveau de la région dont il revendique la paternité. Ce microcosme hybride façonné par les forces impérialistes occidentales et le sionisme tentaculaire n'est autre chose qu'un instrument du chantage et de provocation de l'Algérie et de sa souveraineté. Le jeu trouble d'une certaine frange du semblant d'opposition abusivement appelée comme telle, fait que l'enjeu politique quant à cette grossière manipulation ciblant l'unité et l'intégrité du pays, est intimement lié à des stratagèmes qui sont fomentés d'outre-mer. La complicité silencieuse et sournoise d'une certaine fraction versant dans la politique politicienne qui a fait de la «culture» en la minorant et la réduisant à une expression ethniciste digne d'un guide et un corpus fasciste, ne souffre d'aucun doute en la matière. D'ailleurs, ce n'est pas par hasard que les pseudos démocrates font dans le silence de marbre et l'indifférence calculée et réfléchie quant à leur position à l'égard d'un conglomérat revanchard et haineux.
C'est ce «laxisme» et attitude tactique qui ont laissé un discours antidémocratique et xénophobe s'introduire petit à petit dans l'espace public à telle enseigne que certaines formations dites démocratiques sont allées jusqu'à dire «Le MAK est un mouvement qui s'exprime dans le cadre démocratique. Il faut accepter la diversité au nom de la liberté d'expression et du pluralisme politique» (sic). C'est cette dérive et approche vicieuse et perfide qui a contribué dans la justification gravissime de ce discours séparatiste et porteur de menaces quant à l'unité et la cohésion nationale de l'Algérie.
Il est clair, aujourd'hui, que le microcosme séparatiste est nourri et alimenté par une cohorte de semblants de démocrates version «culturaliste» et doctrinaires identitaires. Le double langage et la versatilité politique se font sentir chez ces autoproclamés représentants de la culture et de l'identité amazighes dans le cadre d'un jeu «démocratique» malsain aux visées régionalistes et sectaires.
Ces groupuscules qui se prennent pour les meilleurs des démocrates ne sont en vérité que des outils entre les mains de leurs mentors de l'étranger depuis leur création en tant que soi-disant partis nationaux et «démocratiques» de surcroît.
L'hypocrisie politique et la duplicité de cette fraction partisane qui a fait de l'identité son cheval de Troie, ont été remarquées cette dernière semaine avec l'affaire du Makhzen qui s'est prononcé en faveur de «l'autodétermination du peuple kabyle». Ces sectaires qui ont gavé le peuple depuis leur création en 1989 de leurs supercheries et vétilles n'ont pas eu le courage de dénoncer d'abord et avant tout le mouvement fasciste qui est derrière cette situation dont l'hostilité à l'égard de la cohésion nationale est flagrante.
Au lieu de dénoncer le mouvement fasciste et sioniste du MAK, ils se sont contentés de disserter avec un style pompeux et opaque sur la décision du Makhzen dont les tenants et les aboutissants de sa stratégie macabre n'est pas à démontrer.
Pourquoi ces semblants de démocrates teintés d'ethnicisme et de doctrine identitaire des plus rétrogrades n'osent pas se prononcer sur ce mouvement sectaire, sioniste et fasciste?
La réponse est simple, le terreau de ce discours a été travaillé et conçu par ces mêmes conglomérats de politicards dont l'ancrage ne dépasse pas la lisière d'une colline en jouant sur la fibre identitaire.
Il faut dire que cette fraction ne peut en aucune manière se permettre et d'oser recourir à un discours aux antipodes de sa matrice fondatrice dont l'énoncé est pétri de régionalisme et de nuance identitaire en termes de doctrine dogmatique et anachronique. C'est une stratégie qui se dissimule derrière un décor «démocratique» pour faire inoculer leur venin séparatiste et autonomiste qui a été dicté par leurs promoteurs néocolonialistes et impérialo-sionistes au sein de la société et de l'Etat. 

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