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Ultime choc contre le Burkina Faso

L'été en novembre!

Belmadi ne déplore ni joueurs blessés, ni le moindre bobo, ni victime de Covid-19,. Aucun signe d'inquiétude concernant la température du «Onze» qui va affronter les Etalons.

Le choc tant attendu et espéré par les authentiques fans des Verts, à savoir la future rencontre du 14 novembre au stade Mustapha-Tchaker de Blida contre le Burkina Faso, comptant pour l'ultime journée des éliminatoires du Mondial-2022, (avant les matchs de mars, ndlr), continue de soulever des tonnes d'interrogations, au sujet de la forme des deux équipes, du déroulement du match proprement dit et des derniers préparatifs. Les vrais supporters sont infiniment rassurés sur l'état de leur équipe favorite et l'issue est certaine! Il n'y a rien à dire. Belmadi ne déplore, ni joueurs blessés, ni le moindre bobo, ni victime de Covid-19, aucun signe d'inquiétude concernant la température du «Onze» qui va affronter les Etalons. Les nôtres partent favoris et largement favoris pour la simple raison que même les plus illustres et les plus mauvais pronostiqueurs qui sont tombés dans le pessimisme primaire des pauvres consultants désabusés par l'invincibilité des Verts, sont plutôt super catégoriques! «Parce que l'Algérie est la meilleure équipe du moment, elle passera aisément ce dernier tour», a déclaré, récemment, un des pires opposant au système mis en place par l'incomparable et inimitable, le discret et compétent entraîneur et sélectionneur des Fennecs, Djamel Belmadi. Ce n'est pas le coeur qui parle, mais la raison! Et ce n'est pas l'entraîneur de l'équipe adverse, qui a déjà commencé le coup de la guéguerre psychologique où la contradiction y est, qui nous fera douter de la valeur des camarades du jeune et percutant milieu récupérateur Ramiz-Larbi Zerrouki. Oui, le sélectionneur burkinabè a imité Belmadi, en reprenant la phrase chérie de Djamel, en l'occurrence, «qu'un match se jouait sur le terrain, pas ailleurs»! Cet entraîneur visiteur a ainsi inventé le fil à couper le beurre en plein mois d'août! C'est pourquoi, nous le répétons, aujourd'hui, comme demain, avant et après le match, il n'y aura ni gri-gri, ni ridicule et dépassée superstition, ni climat, ni état du terrain, ni arbitrage, ni humidité, ni, ni, ni... Il n'y aura que 22 joueurs préparés pour la circonstance, où le team le mieux préparé, l'emportera à la fin d'honnêtes et sereins débats, avec un exemplaire fair-play. Le match en lui-même, se présente déséquilibré, tant la différence de classe est criarde. Il y a le Burkina Faso, 9e et le champion d'Afrique, 4e! Et ce n'est point de la prétention que d'affirmer que le team algérien est actuellement le meilleur. Aux visiteurs de prouver le contraire! N'oublions pas chers lecteurs que nous jouerons en novembre, et en novembre, nous ne connaîtrons jamais de désillusions, car pour les Algériens, novembre est le mois où commence la victoire! Le 16 novembre 2009, ça vous dit quelque chose? Oumdurman, vous rappelle-t-elle un évènement? Pour les tous jeunes, c'est le match d'appui et la victoire de l'Algérie sur l'Egypte, le but de l'inoubliable Antar Yahia, qui nous envoya en Coupe du monde 2010, en Afrique du Sud! Le réservoir qui a donné Mekhloufi, Kermali, les frères Bouchache, Med et Abderrahmane Soukhane, Kerroum, Bouchouk, Oudjani, Defnoun, Zitouni, Boubekeur, Med Maouche, Lalmas, Khalem, Aribi, et autres Rouaï et Saïd Amara, a encore sorti des Attoui, Beloucif, Melalkhsou, Blidi, Amar Aïssa, Fréha, Séridi, Salhi, Bourouba, Ould El Bey, Ferchichi, Koussim, Hachouf, Safsafi, Merzekane, Gendouz, Madjer, Bensahaoula, Yahi, Cerbah, Korichi, Dahleb, Benarbia, Menad, Oudjani, Fergani, Kouici, Bencheikh, Larbès, qui à leur tour se retirèrent pour permettre aux Megueni, Bouguerra, Ziani, Belhadj, Mansouri, Antar Yahia, Boudebouz, Halliche, Lamouchia, Yebda, Saïfi, de continuer l'aventure. Ils sont partis pour laisser Mahrez, Feghouli, Brahimi, Taïder, Abeïd, M'Bolhi, Attal, Zeffane, Belaïli, Slimani, Bounedjah, Benlamri, Bensebaïni, Benrahma, Zerrouki, qui, aux dernières nouvelles, s'est mis à apprendre l'arabe dialectal, pour mieux communiquer avec tous ses coéquipiers, et pas seulement avec les copains anglophones, dont son coach Belmadi, Zorgane, Amoura, Belkebla, Kebbal, Boudaoui, Benayada et Bedrane, s'emparer du flambeau, sous l'oeil vigilant et bienveillant de Belmadi, le coach national, qui a mis en oeuvre son programme monté sur la devise: «Volonté de vaincre avec un esprit collectif, jamais-vu, le tout évidemment basé sur les sacrifices, tous les sacrifices, possibles et inimaginables et continuer ainsi, la légende du foot algérien. La semaine dernière, tous nos joueurs ont marqué pour leurs équipes, et Islam, deux!!! C'est là le signe de l'excellente santé de la bande à Belmadi! «One, two, three, viva l'Algirè»! Il est seulement dommage que le Championnat national continue d'être à la traîne. L'improvisation et la médiocrité sont les maîtres du terrain. Des nominations, des destitutions, des remerciements et des dégommages, à la hussarde, des propos de «tayebettes el hammam», sont la propriété de frustrés de tous bords, des escrocs qui rôdent encore du côté des gens bien, un spectacle triste, que seule, l'embellie de la bande à Belmadi, vient éclaircir, pour le grand bonheur de l'heureuse et vive population sportive! Attention! Belmadi qui, le symbole de la culture du succès, de la réussite, de l'ordre, de la discipline, de la propreté morale, partisan acharné du travail à long terme, est sujet à d'attendus crocs-en jambe, même si le bon et vigilant «peuple» est à fond avec, et derrière lui! «Il est malheureux de constater qu'il n'y a pas un seul joueur du championnat actuel, qui puisse participer aux prochaines expéditions internationales!», regrette l'ancien joueur international rouquin, koubéen, Baâziz Safsafi, un joueur qui a été malheureusement et tristement complètement oublié, pour ses extraordinaires performances et prouesses, dans les années 1970/1980, comme beaucoup d'autres étoiles du foot local! De toutes les façons, et quoi qu'on en dise, Burkina Faso ou pas, l'Algérie sera présente en 2022, au Qatar, avec les meilleurs, qu'ils se nomment le Brésil, l'Allemagne, la Belgique, la France, le Sénégal, l'Egypte, le Qatar, le Japon, la Colombie, ou l'Argentine! Sauf une véritable inattendue catastrophe, «El Djazaïr», le pays béni de Novembre qui a grossi le nombre de chouhada, fêtera bientôt son passage aux barrages en mars 2022! 

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