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Nombreuses réactions à la résolution sur Ghaza

«Un pas dans la bonne direction»

«Cette résolution était le résultat des efforts diplomatiques inlassables de l’Algérie.»

La résolution adoptée ce lundi par le Conseil de sécurité de l’ONU a été accueillie comme une grande délivrance par la Présidence palestinienne. «Cette résolution est un pas dans la bonne direction, vers une cessation complète de l’agression et le retrait des forces d’occupation de toute la bande de Ghaza», a réagi la Présidence palestinienne dans un communiqué. De son côté, le mouvement Hamas a exprimé sa « volonté d’engager un processus d’échange de prisonniers contre otages immédiatement, ainsi que celle d’atteindre un cessez-le-feu permanent conduisant au retrait de toutes les forces israéliennes du territoire ».
Pour le président du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abdelali Hassani Cherif, il a salué, lundi soir à Bordj Menaïel (Boumerdès), les efforts de la diplomatie algérienne. «Cette résolution est le résultat des efforts diplomatiques inlassables de l’Algérie à l’Organisation des Nations unies (ONU) », a-t-il dit. Le président du MSP a appelé le Conseil de sécurité à faire «pression sur l’entité sioniste pour l’amener à respecter le cessez-le-feu».
Dans le même sillage, insistant sur l’importance de l’application immédiate de cette résolution, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a immédiatement réagi appelant à « la mise en œuvre de la première résolution publiée par le Conseil de sécurité de l’ONU, exigeant un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Ghaza. « Cette décision doit être mise en œuvre. Un échec sera impardonnable ».
De son côté, le Parlement arabe est longuement revenu dans sa réaction à cette décision, sur le renforcement de l’action internationale. Précisant dans un appel l’importance d’«intensifier les efforts internationaux, y compris le Conseil de sécurité, pour s’acquitter de ses responsabilités juridiques et historiques visant à mettre fin à l’agression, à établir un cessez-le-feu et à apporter de l’aide pour empêcher l’aggravation de la famine dans la bande de Ghaza, mettre fin à l’occupation et établir un État palestinien indépendant avec Jérusalem pour capitale».
Le même son de cloche fut celui du Royaume d’Arabie saoudite qui a également appelé «la communauté internationale à assumer sa responsabilité, pour mettre fin aux attaques de l’occupation sioniste contre les civils dans la bande de Ghaza, soulignant la nécessité de mettre fin aux souffrances et de donner de l’espoir au peuple palestinien. Avec la même intensité de réaction, le ministère égyptien des Affaires étrangères a, dans un communiqué publié hier soir, considéré que « la publication de cette décision représente une première étape importante et nécessaire, pour mettre fin à l’effusion de sang, mettre fin aux pertes civiles palestiniennes et donner la possibilité à l’aide humanitaire d’entrer ».
Insistant sur l’importance de « la mise en œuvre immédiate de la décision de cessez-le-feu, de manière à ouvrir la voie au traitement de tous les éléments de la crise».
Par ailleurs, le ministère jordanien des Affaires étrangères a affirmé que « l’entité sioniste doit se conformer à cette décision», qui met également l’accent sur «la protection des civils », en permettant l’acheminement de l’aide humanitaire sans obstacles et en garantissant son acheminement adéquat et durable dans toutes les parties de la bande de Ghaza.

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