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39 nourrissons à Ghaza meurent en martyrs par manque d’oxygène

Netanyahu persiste et signe

L'horreur est totale. On croyait les abominations de l'armée sioniste listées, mais on découvre chaque fois qu'elle parvient à repousser les limites de la barbarie déjà extrêmes. Hier, la ministre palestinienne de la Santé, Mai Al-Kaïla, a révélé que 39 nourrissons du service de soins de l'hôpital Al-Shifa, à Ghaza, déjà agressé la veille par les bombardements aériens et d'artillerie sionistes, sont tombés en martyrs en raison du manque d'oxygène. Voilà des jours et des jours que l'OMS, l'UNRWA et bien des ONG n'ont pas cessé de crier «halte au feu», de multiplier les appels au secours mais, sans cesse, Israël et les Etats-Unis ont répondu, haut et fort: «silence dans l'hécatombe!». Mme Al-Kaïla a indiqué, lors de la conférence de presse tenue au siège du ministère à Ramallah, que l'entité sioniste «commet un crime de guerre et un génocide dans la bande de Ghaza. Elle a assiégé et bombardé des hôpitaux». Et elle a eu raison d'ajouter: «Maudite soit la communauté internationale qui ne peut pas arrêter la machine de destruction et de massacre des malades et des blessés dans les hôpitaux. Tout cela se passe sous les yeux du monde». Selon les chiffres communiqués, 20 des 35 hôpitaux dont dispose l'enclave de Ghaza ont été mis hors d'état de fonctionner par l'armée criminelle sioniste et le gouvernement fasciste de Netanyahu qui privent, depuis plus d'un mois, la population civile palestinienne d'eau, d'électricité, de nourriture, de carburant et de soins. Comme celui d'Al-Shifa, l'hôpital Al-Nasr a été également bombardé sans relâche, de sorte que la crèche et les installations d'énergie solaire sont sinistrées et que les différents services sont à l'arrêt, faute d'électricité et d'eau.
Les appels à une intervention urgente de la communauté internationale demeurent vains et les Palestiniens ne savent plus vers qui se tourner pour espérer un terme à l'agression fasciste d'Israël dont les dirigeants civils et militaires ne cachent pas leur mépris des peuples du monde entier et des gouvernements qui les exhortent au respect des valeurs humaines qu'ils ne cessent de bafouer en toutes circonstances. Le Premier ministre sioniste d'ultra droite, Benjamin Netanyahu, a prétendu, dans une réactions aux nombreux appels au cessez-le-feu et aux condamnations des agressions barbares sionistes contre la population civile de Ghaza, que «la responsabilité de tout tort fait aux civils incombe au Hamas», qui, selon lui, «utilise des civils comme boucliers humains». Tous les mensonges, même les plus éhontés, tous les prétextes, tous les subterfuges auront été utilisés par les dirigeants sionistes dans leur tentative de génocide qui met à nu la barbarie affichée et nargue, sans l'ombre d'un souci, l'opinion internationale quelle qu'elle soit. 

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