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La barbarie sioniste atteint son paroxysme

Pas de répit à Ghaza où l'agression entre dans son 200e jour

Sur le terrain, l'agression barbare ne connaît aucun répit. Lundi, a été une nouvelle journée d'horreur avec la découverte d'environ 280 corps dans des fosses communes à l'intérieur de l'hôpital Nasser de Khan Younès.

Le génocide sioniste envers les Palestiniens a franchi toutes les limites de la barbarie et il est entrée hier dans son 200e jour sans aucun signe de répit malgré les appels pressants à la libération des otages, à l'heure où les craintes d'une agression massive sur la ville de Rafah s'intensifient.Ces dernières 24 heures, les bombardements sionistes ont entraîné la mort de 32 Palestiniens, selon le ministère de la Santé du Hamas, portant le bilan total à 34.183 morts, majoritairement des enfants et des femmes, selon la même source.
L'armée sioniste a procédé à d'intenses tirs d'artillerie durant la nuit de lundi à mardi. Des frappes aériennes ont visé le centre de Ghaza, près du camp de réfugiés de Boureij tandis que des tirs d'artillerie ont touché le camp de Nousseirat.
L'armée a déclaré avoir frappé plusieurs positions du mouvement islamiste palestinien Hamas dans le sud du territoire assiégé. Pendant la nuit, ses avions ont ciblé «environ 25 cibles» dont des postes d'observation militaire. Des manifestants sionistes ont installé lundi soir une immense table, aux chaises et assiettes vides, devant le domicile du Premier ministre Netanyahu, dans le nord de Tel Aviv. Ils ont également mis le feu à une autre table. Netanyahu, qui fait face à des pressions croissantes pour obtenir la libération des otages, a assuré lundi que sa «détermination» à voir tous les otages retrouver leur famille restait «inébranlable».
Sur le terrain, l'agression barbare ne connaît aucun répit. Lundi, a été une nouvelle journée d'horreur avec la découverte d'environ 200 corps dans des fosses communes à l'intérieur de l'hôpital Nasser de Khan Younès. Comme d'autres complexes hospitaliers de Ghaza, celui-ci avait précédemment fait l'objet d'un raid dévastateur et criminel de l'armée sioniste.
Un porte-parole de la Défense civile de Ghaza a déclaré que plusieurs des corps retrouvés nus et portant des traces d'ignobles sévices étaient en décomposition, rendant le processus d'identification des victimes encore plus complexe. Outre les destructions et le bilan humain, les quelque 2,4 millions d'habitants de ce territoire,où le Hamas a pris le pouvoir en 2007, sont menacés de famine selon l'ONU, qui exhorte à l'entrée de plus d'aide humanitaire dans ce petit territoire. Netanyahu s'est engagé à poursuivre l'agression sur Rafah, la ville frontalière avec l'Egypte où se sont réfugiés plus d'un million et demi de personnes, principalement des déplacés. Cette ville est le dernier grand bastion du Hamas, affirme-t-il depuis des semaines. Selon des responsables égyptiens, cités par Wall Street Journal, l'occupation sioniste se prépare à déplacer les civils de Rafah vers Khan Younès, notamment. Cette opération d'évacuation durerait deux à trois semaines et serait menée en coordination avec les Etats-Unis, l'Egypte et d'autres pays arabes tels que les Emirats arabes unis, selon ces responsables égyptiens. Ils ont ajouté qu'Israël prévoyait d'envoyer progressivement des troupes à Rafah.
Le G7, dont l'allié américain, a soi-disant condamné cette opération, «redoutant» un bain de sang. Hier toujours, le Sénat américain devait confirmer un programme d'aide à ses alliés, dont Israël, qui devrait arriver sur le bureau du président Joe Biden pour approbation d'ici la fin de la semaine. Au total, il prévoit 13 milliards de dollars pour Israël dans son génocide contre les Palestiniens. Pour le Hamas, Washington a donné à Israël le «feu vert» pour continuer à «agresser» les Palestiniens.
Les Etats-Unis prétendent insister sur la nécessité d'un cessez-le-feu immédiat associé à la libération des otages. Mais les négociations menées par l'intermédiaire des pays médiateurs sont au point mort, Netanyahu faisant tout pour les bloquer.

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