{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Elections présidentielles anticipées

Belkacem Sahli annonce sa candidature

Il sera appuyé par la coalition formée par sept micropartis.

Le secrétaire général de l' Alliance républicaine, Belkacem Sahli se prépare à annoncer sa candidature à l'investiture suprême. Il se portera candidat à la présidentielle anticipée au nom de l'alliance de micropartis. Cette alliance composée de sept partis (ANR, PRD, FMN, FDL, MEN, Mnta et URN), a choisi Belkacem Sahli, le SG du parti fondé par feu Rédha Malek, pour la représenter à la course à la présidentielle.
La constitution de ladite coalition sera annoncée officiellement à l'issue de la rencontre des partis la composant, programmée pour vendredi prochain au niveau de la mutuelle générale des travailleurs des matériaux de construction à Zéralda. Il reste que ce groupe de micropartis ne dispose pas vraiment de ressources qui leur donneront une visibilité sur la scène politique. Si son candidat arriverait à franchir l'étape cruciale de collecte de signatures individuelles des électeurs, ce sera pour lui une revanche éclatante, en sachant que l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie) et le Conseil constitutionnel avait rejeté son dossier de candidature à l'élection présidentielle du 12 décembre 2019.
«L'alliance pour la stabilité et la réforme», créée en soutien à la candidature de Belkacem Sahli reste l'unique coalition formée, jusqu'ici, en prévision de la présidentielle anticipée, prévue
le 7 septembre prochain.
L'objet de la constitution de l'autre alliance formée par les quatre partis (FLN, RND, le mouvement El-Bina, le front El-Moustakbal) se limite à la tentative de trouver une solution au problème lié au blocage de nombreuses assemblées communales faute de consensus entre leurs membres ou gelées par les walis. Aucun de ces partis n'a encore tranché sur la forme de leur participation à l'élection présidentielle.
L'option du soutien d'un candidat consensuel apparaît plus plausible que celle relative à la présentation de leur propre prétendant à la succession. Dans cette optique, l'ensemble de ces partis scrute l'annonce officielle de l'actuel locataire du palais d'El-Mouradia de rempiler à un second mandat pour se prononcer. Par ailleurs, le mois de Ramadhan n'étant plus un prétexte à la léthargie, l'activité partisane reprendra ses droits ces jours-ci. En effet, les instances habilitées des partis plus ou moins visibles sur la scène politique devraient se réunir et annoncer incessamment la forme de leur participation au prochain scrutin présidentiel. Dans ce contexte, le MSP qui avait ouvert le bal, en annonçant un peu tôt sa participation du reste évidente à cette élection, devrait réunir son majlis echoura juste après le Ramadhan pour choisir son candidat. Idem pour le FFS, dont le premier secrétaire national avait déclaré récemment que «le débat est engagé au niveau des instances de direction du parti et au niveau du Conseil national pour dégager une position conciliante entre notre volonté de contribuer à l'évolution des choses dans le pays et cet impératif d'ouverture et de réhabilitation de l'action politique».
Le PT aussi doit réunir son Comité central pour trancher sa position concernant la participation ou non à la présidentielle. En outre, la majorité des partis appellent à la levée des contraintes politiques et à l'ouverture des champs politique et médiatique en vue d'instaurer un débat autour de cette échéance capitale à même de permettre une confrontation d'idées qui offrira aux électeurs la possibilité de faire leurs choix librement.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours