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Dixième édition du Festival international d'El Inchad

Ghaza dans le coeur de l'évènement

La dixième édition du Festival international d'El Inchad a été ouverte hier au théâtre régional de Constantine en présence des autorités civiles et militaires.
Cette édition est exclusivement dédiée à la Palestine et spécialement à Ghaza dont la population qui subit depuis six mois un génocide jamais enregistré dans les anales de l'histoire.
L'expression de ce soutien est pour le commissaire du festival Abdelali Louahouah une suite logique de la position de l'Algérie quant aux causes justes. Il a soutenu lors d'une allocution prononcée en la circonstance, «Oon ne peut pas être indifférents des événements douloureux de la bande de Ghaza».
Le commissaire souligne/ «Il est même de notre devoir de réagir au drame de nos frères et rester à l'écart ne répond pas à la nature humaine», d'où le slogan du festival de cette dixième édition «Adjil Ila Al Djinan».
Une expression inspirée et tirée d'une célèbre formule d'Abou Madyan Al Ghawth, originaire de Séville, connu beaucoup plus sous le nom de Sidi Boumediène, considéré comme un grand défenseur d'Al Qods. Ce slogan est relatif à tout ce qui représente la Palestine. C'est une édition qui s'annonce donc émotionnelle avec une portée révolutionnaire, mais dans un cadre purement artistique et spirituel qui «mettra à l'honneur Ghaza qui sera glorifiée dans les spectacles des participants», a encore souligné, Louahouah, ajoutant que «l'évènement constituera une occasion pour réitérer le soutien à la cause palestinienne». C'est avec une troupe impressionnante venue de la Tunisie que le festival a été inauguré, une troupe dont les membres composés de femmes et d'hommes qui, en signe de solidarité avec la Palestine portaient la Koufiya palestinienne.
Un spectacle qui porte le caractère soufi a été offert au public venu très nombreux admirer un style musical particulièrement spirituel.
Un spectacle ou se sont mélangés les émotions d'amour, de solidarité, de chagrin et en même temps d'impuissance à l'égard des évènements atroces, horribles et indescriptibles de Ghaza. Le festival connaîtra la participation des troupes algériennes, mais aussi de la Palestine, la Syrie, l'Iran et de l'Indonésie.
Le festival organisé sous l'égide du ministère de la Culture a connu lors de la première soirée inaugurale comme souligné plus haut, la présentation du spectacle «Bisme Allah Kasadna El Koba», animé par une troupe tunisienne composée d'une trentaine d'artistes.
Le public a été donc honoré de suivre cette troupe et le sera davantage en appréciant jusqu'au 5 du mois courant la troupe de Hassan El Hafar (Syrie), Smail Djouchar (Turquie) et Said Hafez (Egypte).
Lors de ce festival il est également prévu un important programme académique et de formation «à travers l'organisation de conférences et ateliers encadrés par des spécialistes et chercheurs dans le domaine de l'Inchad et du soufisme à l'instar du docteur, Liamine Bentoumi de Sétif, le professeur, Malik Merouani de Constantine et le professeur, Djamel El Saka de la Syrie». Il ne maquera pas de souligner que ces conférences traitent des thèmes très intéressants.

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