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Bac 2021

Un examen sous «haute sécurité»

Pas moins de 731723 candidats au bac 2021, sont en lice, pour tenter de décrocher le diplôme qui ouvre grandes les portes des campus.

Tous les regards étaient braqués, hier, sur le déroulement du premier jour du bac 2021. Comme de coutume, la connexion Internet était à l'épreuve des coupures et des perturbations. Le recours au blocage d'accès au réseau Internet pour la sixième année de suite lors de la première heure de chaque épreuve de l'examen du baccalauréat afin de lutter contre les tentatives de fraude, était le fait saillant de la journée. Tous les réseaux sociaux étaient en effet, dès le début de la matinée d'hier inaccessibles, via les trois opérateurs de téléphonie mobile. Facebook, Tweeter, WhatsApp et Viber été suspendus. Une perturbation qui a été largement commentée par les internautes. Une solution extrême qui devrait fort probablement persister jusqu'à jeudi, dernier jour des épreuves de cet examen. Pourtant, la toile était hier sous la loupe.
Les candidats et les surveillants sont fouillés à l'entrée des centres d'examen et sont dépouillés de leurs smartphones durant toute la journée et ne pourront les récupérer qu'après la fin des épreuves. À l'intérieur des centres d'examen, l'ambiance du premier jour des épreuves, était, toutefois, «calme».
Les candidats ont entamé dans des conditions climatiques clémentes, les premières épreuves du bac, au sein des lycées de la capitale. C'est ce que nous avons constaté lors d'une virée effectuée pour «tâter le pouls» de cet examen, dans cette wilaya si stratégique.
Les candidats rencontrés devant les lycée Amar Zahouane, (Birkhadem), Garidi 2 (Kouba), et El Idrissi, (place du 1er Mai), ont laissé entendre que les sujets de littérature arabe et des sciences islamiques étaient relativement «abordables». Les épreuves du bac ont débuté avec la langue et la littérature arabes, pour toutes les branches. Les sujets d'examen ont été, selon la plupart des candidats que nous avons rencontrés, «à la portée de tous». Que ce soit du côté des candidats littéraires ou scientifiques, que du côté de ceux des sciences de gestion comptable, le constat était le même.
Dans la capitale, comme dans d'autres wilayas du pays, ce rendez-vous s'est déroulé sur fond de prudence sanitaire.
Des banderoles colorées au sol, des barrières physiques étaient en place dans tous les centres visités pour assurer le respect de la distanciation sociale entre les candidats.
Flacons de gel hydro-alcoolique et masques chirurgicaux étaient fournis, à l'entrée des bureaux de vote, pour ceux qui n'en avaient pas. Le strict respect des mesures sanitaires était de mise à Tizi Ouzou, Oran, Constantine, Béjaïa et Annaba. C'est ce qui ressort des comptes rendus de nos correspondants.
Le ministre de l'Education nationale, Mohamed Ouadjaout a insisté hier sur la nécessité «d'accorder un intérêt majeur à l'encadrement sanitaire, surtout dans le contexte de la pandémie de Covid-19.»
Il s'exprimait depuis le lycée Ali Boussehaba à Draria (Alger), après avoir donné le coup d'envoi officiel des épreuves du baccalauréat.
Le ministre a rappelé que cet examen «se tient dans des circonstances exceptionnelles pour la deuxième année consécutive.»

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