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Réunion FIFA – CAF sur les infrastructures sportives

Amara plaide pour un meilleur management

Le président de la FAF a rappelé que l’Algérie a été parmi les premiers pays en Afrique à se doter d’importantes infrastructures de base au lendemain de l’indépendance et durant plusieurs années.

Comme annoncé précédemment, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Charaf-Eddine Amara, a pris part au premier forum sur le développement des talents et des infrastructures en Afrique qui a eu lieu par visioconférence avec les responsables et représentants de la FIFA. Deux ateliers étaient au programme: l'un portant sur la «localisation des infrastructures & adéquation entre le concept et le plan de développement footballistique», et l'autre sur «les défis d'une administration structurée pour la mise en place du plan stratégique». Le secrétaire général, Mohamed Saâd, a également participé à ces deux ateliers, les premiers du genre organisés par la FIFA. Lors de son intervention, le président de la FAF a rappelé que l'Algérie a été parmi les premiers pays en Afrique à se doter d'importantes infrastructures de base, au lendemain de l'indépendance et durant plusieurs années. Il a évoqué les problématiques de gestion et surtout de maintenance des stades, tout comme la nécessité de combler un certain déficit au niveau des wilayas du Sud. Amara a insisté sur le fait que l'infrastructure ne concernait pas seulement les stades de compétition, mais aussi les centres d'entraînement et les écoles et/ou académie de formation. Il rappela, à l'occasion, l'expérience du Centre technique national (CTN) de Sidi Moussa ainsi que celles toutes récentes des centres de Khemis Miliana et de Bel Abbès, en attendant d'autres structures en cours de projet. En plus des stades qui sont en cours d'achèvement, comme ceux d'Oran et Baraki, ou toujours en chantier tels que ceux de Douéra et de Tizi Ouzou, d'autres connaissent déjà un début de réhabilitation ou sont sur le point de voir les travaux démarrer, comme les stades de Blida, de Constantine et d'Annaba. Le premier responsable de la FAF a souligné le rôle que jouent déjà et que doivent jouer les pouvoirs publics pour la construction des infrastructures, dans le cadre de programmes bien étudiés afin de répondre aux besoins de développement de la pratique et de la performance dans le football. Contrairement aux clubs qui, eux, ne possèdent pas encore ou suffisamment les grands moyens pour se doter de leurs propres stades. D'où l'idée de la mise à disposition des stades aux clubs sous forme de participation au patrimoine ou dans le cadre de concession. Amara a abondé sur d'autres sujets, comme les aspects juridiques et financiers, le transfert technologique et le savoir dans des domaines comme l'engineering de l'infrastructure sportive, l'expertise dans le management et la gestion de ces infrastructures pour une meilleure rentabilisation.

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