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Il a «blindé» le secteur par des mesures révolutionnaires

Médias: la touche du Président

On ne le dira jamais assez. Les mesures décidées par le président de la République, déclinées à l'occasion de la Journée nationale de la presse, sont révolutionnaires.
Qualifiées ainsi, parce qu'elles sont annonciatrices d'un bouleversement dans le paysage médiatique national après 34 années d'exercice dans un terrain semé d'embûches entravant tout essor.
Par des aides indirectes, des allégements fiscaux, la réduction du prix d'abonnement au fil de l'Agence Algérie Presse Service (APS) et la relance du fonds d'aide à la presse, le président Tebboune a fait preuve d'une grande audace en libérant les énergies médiatiques. La presse a d'abord une fonction démocratique.
Conscient de ce rôle fondamental, le Président vient de démontrer par cette batterie de mesures uniques en Afrique et dans le Monde arabe, un engagement exceptionnel envers l'épanouissement de la presse algérienne.
Comme autre impact direct de ces mesures, Tebboune vient de rétablir un équilibre vital entre le pouvoir exécutif et le quatrième pouvoir, garantissant ainsi aux citoyens le droit à l'information, un acquis consacré par la Constitution.

En réalité, ce lien étroit entre le Président et le monde de la presse n'est pas nouveau. Depuis son élection en décembre 2019, le chef de l'État a toujours favorisé un dialogue ouvert et constructif avec les médias. Cette relation plonge ses racines encore plus loin dans le temps. En 2000, alors qu'il était ministre de la Communication, il avait chargé une équipe d'experts en vue de trouver un logiciel à même de calculer la surface publicitaire des journaux. Il pensait déjà à la manière la plus adéquate et la plus juste pour utiliser le fonds d'aide à la presse, comme cela se fait dans les pays à grande tradition médiatique comme la France où chaque année les montants d'aides accordées au journaux sont rendus publics. À l'époque, Tebboune voulait faire un bon usage de cette manne d'un montant de 80 millions DA. Ce fonds a été bloqué par l'ancien régime avant d'être totalement dissous en 2016. C'est également lui, qui a aidé à la création du Conseil d'éthique et de déontologie présidé par le défunt Zoubir Souici. C'est dire que la démarche du Président n'a rien de conjoncturelle mais émane d'une conviction profonde qui vise à doter le pays d'une structure médiatique solide. «Organisez-vous, je suis là pour vous aider!», était le leitmotiv du président Tebboune convaincu qu'une corporation médiatique forte ne peut être qu'un bouclier de plus pour protéger le pays des agressions extérieures. Avec le scandale de la presse occidentale face au génocide commis par les sionistes à Ghaza, y a-t-il encore de la place au doute, quant à l'existence d'une guerre médiatique? Les esprits sceptiques, longtemps ignorant les appels à la vigilance, sont bien obligés, aujourd'hui, de constater la haine criarde et la manipulation qui ont atteint le seuil de l'intolérance. L'écrasante majorité des médias de la presse audiovisuelle et écrite occidentaux s'était mise de la partie pour diaboliser la résistance palestinienne. La liberté d'opinion et d'expression prennent ainsi des sentiers géométriques variables. On justifie, sans sourciller, le massacre de milliers d'enfants et de femmes et de civils et on taxe de terroristes ceux qui se battent pour récupérer leurs terres spoliées par une État colonialiste. Les masques sont tombés. Dans cette guerre, il faut reconnaître que la presse algérienne unanime a largement contribué à déconstruire le narratif propagandiste des médias prosionistes. L'exemple de Ghaza est instructif pour bien souligner l'importance d'un secteur médiatique performant. Dans son ouvrage, L'Art de la guerre, le stratège chinois Sun Tzu (544-496 avant J.-C.) avait développé le principe de la conquête des armées, sans livrer bataille et le plus habile consiste à vaincre l'ennemi sans combat. C'est ce qu'on appelle, aujourd'hui, la guerre de quatrième génération. Cette guerre est là! La menace est bien réelle. C'est dans cette perspective qu'on doit donner du sens aux mesures décidées par le président de la République. Non seulement, elles ont le mérite de sauver un patrimoine, un savoir-faire et une mémoire, mais aussi, elles ont aussi un caractère stratégique. Tebboune a «blindé l'arsenal médiatique».

Le quotidien L’Expression distingué
Le quotidien L’Expression a été distingué au même titre que six autres de la presse nationale pour la qualité de son travail, son apport au débat national. Les autres quotidiens sont Le Soir d’Algérie, El Khabar, El Watan, El Fadjr et le Quotidien d’Oran. Cette distinction marque l’intérêt que porte les plus hautes autorités du pays à la profession et démontre, si besoin, l’importance de la presse dans le fonctionnement démocratique de la société. Par ce geste, l’État algérien met en évidence l’importance du leadership de la presse écrite pour l’éclairage de l’opinion nationale.

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