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La part du lion pour le sud

«De nécessaires réformes dans la gestion de l'administration locale pour le développement des régions rurales et sahariennes à la faveur de la décentralisation.»

Entre nécessité de formation des élus, le besoin de changement des mentalités et, notamment l'urgence de procéder à une large opération de décentralisation pour accélérer le développement des wilayas du Sud du pays, les partis en lice pour les élections locales du 27 novembre ont mis en avant, au 3e jour de la campagne électorale, l'impératif de se rapprocher des citoyens, et de cerner leurs besoins et leurs attentes. Voici leurs déclarations:

FLN: «L'élu est le véritable représentant du peuple»
Le secrétaire général du parti du Front de Libération nationale (FLN), Abou El-Fadl Baâdji, a appelé, depuis Ouargla, à «revoir les procédures inhérentes à l'investissement agricole dans les wilayas du sud du pays, et d'accorder des mesures incitatives à même d'encourager les jeunes à cette activité et à contribuer ainsi aux efforts d'autosuffisance alimentaire». À ce titre. Baâdji a rappelé que «les APC sont le socle fondamental pour tous les domaines de développement local car, l'élu étant le véritable représentant du peuple».

RND: «Le citoyen doit participer en force à ce rendez-vous.»
Convaincu que ces élections locales sont une opportunité en or pour la cohésion et le consensus social, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Tayeb Zitouni, a insisté depuis El Tarf, sur l'impératif de «se rallier aujourd'hui plus que jamais autour de la direction du pays et de ses institutions constitutionnelles, pour lui exprimer son soutien face aux dangers géopolitiques entourant le pays».

El Moustakbel: les mentalités doivent changer
S'exprimant à partir de Mila, le secrétaire général du Front El Moustakbel, Abdaelaziz Belaïd, a estimé que «la société est responsable de la crise multidimensionnelle que traverse l'Algérie, exigeant des efforts considérables et une vision claire pour en atténuer les effets qui seront perceptibles dans un futur proche». Selon Abdelaziz Belaïd, la situation nécessite «un changement de mentalités et des comportements pour s'engager sur la bonne voie et parvenir à un changement qui ne peut se faire par décret, loi ou décision politique».

MSP: vers l'ouverture aux non-adhérents
Intervenant à partir de Constantine, le Mouvement de la société pour la paix (MSP), s'est concentré sur la présentation de sa composante pour ces élections, précisant que «ses listes sont composées de jeunes compétences dont 90% sont des universitaires, et dont 10 à 15% sont des femmes. plus de 80% de ses candidats sont choisis parmi les acteurs de la société civile. Une initiative qui constitue une «ouverture» du parti aux non-adhérents dans ses rangs. 

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